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François Debruge

Cher visiteur, 
Lorsque j'ai commencé à m'intéresser au monde du gambling, je n'avais pas 20 ans, la fin des années 80 approchait, et j'écumais les plus luxueux resorts américains. 
Je travaillais comme journaliste au Las Vegas Sun et je vivais dans une ville justement surnommée Sin City, la cité du péché. 
Comme tout joueur qui se respecte, je faisais souvent des virées à Reno, une ville plus petite que Las Vegas et située elle aussi dans l'état du Nevada. 
Il m'arrivait aussi d'aller passer quelques jours à Atlantic City dans le New Jersey et de ce fait, je dormais plus souvent dans les hôtels que chez moi. 
Les strip clubs, je vous parle ici de bars avec des go go dancers et non pas de lieu de prostitution très répandus au Nevada, devinrent tout naturellement ma seconde demeure. 
Je me suis marié 4 fois en 5 ans, toujours dans une des nombreuse wedding chapels de Las Vegas et jamais bien loin d'un sosie d'Elvis.
A cette époque, mes jeux de hasard de prédilection figuraient parmi les jeux de table, souvent considérés par les joueurs comme les jeux nobles, par opposition aux machines à sous, avec le Blackjack et la Roulette en tête, ainsi que le Craps très apprécié par les américains et le Baccarat par les asiatiques, notamment à Macau comme au célèbre Grand Lisboa. 
Au Blackjack, je connaissais parfaitement mes chances d'arriver à faire vingt-et-un car il me suffisait de compter les cartes déjà distribuées par le croupier et d'appliquer les règles des tables de probabilités qui n'avaient plus de secret pour moi. 
Je n'étais pas aussi connu que les étudiants du MIT immortalisés par le film Las Vegas 21, mais je bénéficiais tout de même de ma petite renommée.   Lire la suite >>

A la Roulette, les martingales, qu'elles soient Piquemouche ou d'Alembert, montantes ou descendantes, avec ou sans Paroli, me permettaient de limiter mes pertes lors des mauvais jours et d'augmenter mes gains lors des jours de chance, dans un jeu où l'on peut facilement perdre la tête et sa fortune.
Si "Faites vos jeux", "Les jeux sont faits" et "Rien ne va plus" sont les maîtres mots du croupier, ceux du joueur doivent impérativement rimer avec "Garde la tête froide et ne mise pas plus que tu n'avais prévu" sinon il ne pourra éviter la spirale qui l'amènera fatalement vers l'addiction.
Plus tard, j'ai découvert les machines à sous et leur jackpot progressif ainsi que les vidéo poker leur Quinte Flush Royale.
A la fin des années 90, en pleine préparation d'un bug de l'an 2000 qui n'arriva jamais et dans une ambiance de fin de millénaire, débarquèrent les premieres rooms US comme Golden Palace, Bodog ou 888, mais aussi quelques rares sites français comme casino770 (Groupe Partouche), annonçant la déferlante des jeux d'argent en ligne et posant de fait la question de leur régulation en général et de leur législation en particulier via leur légalisation...ou pas.
Au même moment, les machines à sous vidéo, disposant d'un écran parfois tactile, qui remplaçait les bon vieux rouleaux mécaniques qu'on avait vu apparaître sur la Liberty Bell que Charles Fey bricola dans la cave de sa résidence de San Francisco en 1897, révolutionnèrent le monde des jeux d'argent.
Ces deux mouvements indépendants fusionnèrent sur le Net et donnèrent naissance aux machines à sous avec ou sans téléchargement, généralement en flash, gratuites en mode démo ou pour de l'argent en mode réel.
Lorsque j'ai commencé à jouer à leur nouvelle variante à 5 rouleaux et multi-lignes, j'ai rapidement été fasciné par leurs nombreuses options comme les Scatter, les Wild, les jackpots progressifs, les jeux bonus et autres Free Spins.
C'est à ce moment que j'ai peu à peu commencé à partager mon temps passé à parier entre les tables de Black Jack, de Roulette, les machines à sous et les video pokers.
Les puristes vous diront qu'elles reversent sensiblement moins d'argent qu'un bon jeu de table.
C'est souvent vrai, mais comme pour le Bingo ou sa variante le Keno, ce n'est pas uniquement le taux de reversement qui confère à un jeu son intérêt, c'est aussi ce qu'on appelle aujourd'hui le gameplay, c'est-à-dire le scénario du jeu.
Pour cela, les machines à sous disposent d'un énorme avantage qui réside dans leur variance, c'est-à-dire la fréquence à laquelle elles redistribuent les gains.
En effet, une slot avec une variance faible signifie que vous gagnerez souvent de petites sommes mais jamais le gros lot, alors qu'une slot avec une variance haute demandera de la patience et de solides nerfs d'acier car les périodes pendant lesquelles la machine reste froide peuvent paraître très longues, mais lorsque vous gagnez, c'est le jackpot.
C'est indubitablement un pari des plus risqués qu'il faut prendre en connaissance de cause.
Chaque joueur devrait trouver le type de slot machine qui lui convient, depuis le " petit joueur ", au "high roller " ou "whale" (baleine en français) en passant par Monsieur Tout le Monde.
Attention, j'exprime ici uniquement mon opinion personnelle, car si vous demandiez à mes deux compères, François Debruge et Antoine Agato, ce qu'ils en pensent, le premier vous répondrait quelque chose dans la veine de "La Roulette est incontestablement la reine des jeux" et le second vous dirait sur un ton sans appel "Qu'on a jamais fait de film sur la Roulette ni sur les machines à sous" faisant par là référence au film Las Vegas 21 qui décrit de façon très romancée (il s'agit en fait d'une adaptation du livre Bringing Down the House de Ben Mezrich) les aventures d'un groupe d'étudiants du MIT, dont Micky Rosa, de son vrai nom John Chang, est un des personnages principaux, qui lessiva les plus grands resorts de Las Vegas en mettant au point une stratégie de comptage de cartes.
Depuis les decks (sabots) des tables de Black Jack contiennent 5 ou 6 jeux de cartes afin d'éviter cette astuce. Dans les cas extrêmes on a parfois vu jusqu'à !
Enfin, nous vous annoncerons prochainement la venue d'un nouveau membre au sein de notre équipe.
Il s'agit d'un spécialiste du turf et des hippodromes, habitué (quasi-résident à l'année !) du Monte-Carlo Resort de la SBM (Sociétés des Bains de Mer) à Monaco, à ne pas confondre avec celui de Las Vegas.
Il nous apportera son expertise dans le domaine des courses de chevaux et autres paris sportifs (sports betting pour les puristes et amateurs de la langue de Shakespeare).
C'est cette pluralité de vues différentes, parfois opposées, qui fait de Sonalia sa richesse et le distingue, du moins je l'espère, des supermarchés du casino qui pullulent en ligne.
Nous espérons sincèrement que vous prendrez autant de plaisir à nous lire que nous en avons pris à rédiger ce guide…en toute humilité.
Avant de clore cet éditorial, je souhaiterais rendre un hommage à ceux que je considère comme mes pairs les plus prestigieux dans le domaine du gaming.
Tout d'abord Bryan Bailey, le créateur de l'excellent forum CasinoMeister, ensuite Michael Shackleford alias The Wizard of Odds et enfin John Grochowski, Frank Scoblete et Mark Pilarski tous trois "Gaming Gurus" sur CasinoCityTimes.
Enfin, si je n'avais qu'un seul site à vous conseiller, que ce soit pour la qualité et la fiabilité de ses jeux ou pour l'excellence de son support client, il s'agirait sans doute du leader espagnol.
No hableis español ?
Qu'importe puisqu'à l'heure où vous lisez ces lignes, Solera est probablement déjà accessible en français.
Alors qu'attendez-vous ?
Que la Chance vous accompagne,